Fin de la balade à la Roche de Flayac, on approche de Polignac.
Zoom sur le donjon
Le village de Polignac et sa forteresse.
Au pied de la forteresse !
La Forteresse de Polignac est ancrée dans le patrimoine de la région du Velay. Cet édifice millénaire a traversé le temps et les époques. Il reste aujourd’hui le témoin d’une histoire riche et mouvementée.
Donjon à contre-jour !
Entre 1385 et 1421, la construction de l’imposant Donjon de 32 mètres de haut, atteste de la toute-puissance des Polignac.
La Forteresse appartient à la famille de Polignac depuis près de 1000 ans. Les différents seigneurs ont marqué non seulement l’Histoire du Velay mais aussi l’Histoire de France.
La Forteresse trône sur une butte volcanique, cernée par des falaises escarpées.
Le choix d’un tel site n’est pas anodin, il confère à la forteresse un premier élément de défense unique.
Le site s’étend sur trois hectares clos de remparts.
Les remparts sont ponctués de tours reliées par un chemin de ronde.
Ce soir, on dort sur l’aire pour camping-cars de Polignac et demain on repart pour Doulioux.
Croix au bord de la route, route qui va nous mener au pied de la Roche Fayac.
Joli puits vu en chemin.
Un beau buisson d’ "Herbe de la Pampa" , la plus courante des graminées des jardins.
Par-dessus les toits de Bilhac, nous apercevons la «Roche Flayac», ce monticule volcanique de Polignac, depuis le haut duquel on peut admirer la forteresse !
«La roche de Flayac» : ce sont les vestiges d'une ancienne cheminée volcanique,datant de 2 millions d’années !
La roche de Flayac à voir dans le prochain article ...
Nous allons d’abord au Puy-en-Velay pour un prise de sang et ensuite direction Polignac (43000)
Quelques photos de la forteresse de Polignac, depuis la route.
La Forteresse de Polignac, juchée sur une butte volcanique, offre un spectacle saisissant.
Depuis sa plateforme, le site invite à l’émerveillement devant son panorama sans pareil sur la région.
La forteresse a inspiré et séduit de célèbres visiteurs : George Sand y situe l’action d’un de ses romans, le marquis de Villemer, et Prosper Mérimée, premier inspecteur des monuments historiques, le classe dés 1840.
Gros plan sur le donjon.
Vue sur la forteresse depuis l’aire pour camping-cars, aire où nous passerons la nuit.
Mais en attendant, on va faire une balade jusqu’au petit village de Bilhac à environ 3 km de Polignac.
Un joli poulain rencontré en chemin !
Stella n’avait pas encore vu des chevaux …
Elle est intriguée !
Depuis le chemin vue sur Polignac.
Stella serait-elle fatiguée ?
Pas du tout ! C’est juste pour avoir le panorama en arrière plan !
Sur le chemin du retour, on passe devant ce grand bâtiment qui abrite la médiathèque.
L’école communale
Nous repassons devant le monument aux morts.
Jardin public avec jeux pour enfants
Reflets sur la rivière Tardes
Nous quittons Chambon-sur-Voueizepour filer jusque’à Saint-Éloy-les-Mines.
Et c’est parti pour le tour du plan d’eau de Saint-Éloy-les-Mines.
Contre-jour sur la balançoire et le plan d’eau !
Stella et Macmanouche (aussi à contre-jour) au bord du plan d’eau !
Stella en compagnie de Marie-Claude.
Nous voici sur la rive opposée.
Les Colverts nous suivent de loin !
Le tour du plan d’eau terminé, nous allons nous mettre au chaud dans notre maison-sur-roues.
Stellaa trouvé sa place pour dormir : le canapé !
De Saint-Éloy-les-Mines à Montfaucon-en-Velay
Mardi 12 octobre 2021
On quitte Saint-Éloy-les-Mines en fin de matinée, direction Montfaucon-en-Velay (43290) où nous avons rendez-vous mercredi 13 octobre chez le concessionnaire de camping-cars qui doit nous changer la sonde des eaux usées ainsi que la pompe à eau des sanitaires.
Donc ce soir on dort sur l’aire pour camping-cars de Montfaucon
De Montfaucon-en-Velay à Doulioux
Mercredi 13 octobre 2021
Matinée à Montfaucon-en-Velay pour les travaux.
Les réparations achevées, on termine notre péripleet ce soir on dort chez nous à Doulioux.
Suite à des ennuis sur les vérinbéquilles hydrauliques du camping-car, on décide d’aller jusqu’à Celon (36200) pour faire les réparations.
Nous prenonsrendez-vous pour le lundi 11 octobre chez GRM (Génerale de Réalisations Mécaniques http://www.grmberri.com
Nous quittons Doulioux en début de ce samediaprès-midi, avec halte pour la nuit à Saint-Éloy-les-Mines (63700).
De Saint-Éloy-les-Mines à Bazaiges
Dimanche 10 octobre 2021,
Nous quittons Saint-Éloy-les-Mines et nous prenons la route direction Bazaiges (36270) où nous faisons la halte de la nuit sur l’aire pour camping-cars.
De Bazaiges à Celon
Lundi 11 octobre 2021,
Nous nous rendons à Celon ( à 6km de Bazaiges) où nous attend monsieur Luneau pour la révision des vérins.
La réparation terminée, nous quittons Celon vers 10h.
De Celon à Chambon-sur-Voueize
A midi, nous faisons halte sur l’aire de Chambon-sur-Voueize (23170)
Ensuite nous allons re-visiter le bourg où nous étions passés avec les GéDal le 11 août 2015.
La rivière Tardes qui arrose qui arrose Chambon-sur-Voueize.
Nous approchons du centre du bourg.
Au loin le clocher et la tour des Bourgeois qui dominent le village.
Le monument aux morts
L’abbatiale Sainte-Valérie
Les bâtiments abbatiaux.
Chef d'œuvre de l'art roman, l'abbatiale Sainte-Valérie est riche de multiples trésors.
L'Abbatiale Sainte-Valérie est l'un des plus importants édifices de style roman du Limousin avec ses 87 mètres de longueur et son transept de 38 mètres de large.
Le clocher fortifié de la Tour des Bourgeois.
Le second clocher, restauré au XVème, appelé "Tour du Chatrier" car elle servait au rangement des chartes et manuscrits du monastère.
De gauche à droite le clocher-porche, la nef recouverte d’un toit à quatre pentes, et la tour du Chartrier.
Des deux couvents établis à Saint-Bonnet- le-Château au début du XVIIème siècle, seul subsiste celui des Ursulines, créé vers 1620 par la volonté de pieuses dames de vivre en communauté.
Françoise de Bermond, introductrice de l’ordre des Ursulines en France, choisit d’y finir ses jours en 1622.
Les religieuses sont dispersées en 1792, cédant la place à l’hospice, l’actuel hôpital, qui occupe toujours les lieux.
Au 3 rue Dessous les Remparts, cette maison date du début du XVIème siècle, comme l’attestent les grilles de protection des fenêtres en fer forgé, fréquentes à cette époque et dont quelques rares exemples subsistent encore dans le canton.
Rue Dessous-les-Remparts
La très ancienne rue Dessous-les-Remparts va de la place Lagnier à la place du Commandant Marey.
Les maisons situées sur son côté ouest s’adossaient à la muraille occidentale de la ville, d’où son nom.
L’Hôtel de Vinols et plusieurs demeures semblables, probablement édifiées sur une courte période, constituent un groupe à part dans la ville.
Leur style de la seconde Renaissance tran-che avec celui des maisons du XVème siècle et du début du XVIème.
Non sans quelques maladresses savoureuses, l’architecture associe les traditionnelles fenêtres à meneaux (montants ou traverses de pierre) de style gothique avec des formes d’inspiration classique.
Très bien restauré, cet hôtel abrite l’Office de tourisme du pays de Saint-Bonnet-le-Château et constitue, avec sa façade classée, le bâtiment le plus spectaculaire de la ville.
Statuette de la Vierge dans l’angle du mur de la rue des Fours Banaux et de la Grand Rue.
Zoom sur la statuette.
Rue et place des Fours Banaux
A l’époque médiévale, les habitants cuisaient leur propre pain dans des fours collectifs, appelés fours banaux. Leur usage était obligatoire et permettait au seigneur de collecter un impôt appelé banalité.
Cette demeure du XVème siècle aurait appartenu au capitaine châtelain de Saint-Bonnet-le-Château, Pierre Guyon, dit “ Nanaste ”. Elle a subi diverses mutilations : perte d’une partie de la toiture, démolition du rez-de-chaussée par la création d’un garage, disparition des meneaux.
Belle porte ancienne dans la Grand Rue.
Fin de la visite de Saint-Bonnet-le-Château
Nous dormons à Saint-Bonnet-le-Château et demain direction Doulioux : fin de ce 98ème périple
La Collégiale construite à partir de 1400 sur le site de l’ancienne église du XIIIème siècle.
Le porche de l’entée nord de la collégiale, ajouté en 1468.
Avec sa nef à trois vaisseaux, ses six travées et son chœur terminé par une abside à pans coupés, la Collégiale de Saint-Bonnet-le-Château emprunte beaucoup à l’Abbaye de la Chaise- Dieu et présente une architecture locale en gothique forézien.
Les vitraux d’origine ont malheureusement disparu pendant la Révolution et ont été remplacés autour de 1885.
La porte de la sacristie.
L’ancienne porte blindée de la sacristie.
Zoom sur la serrure de cette ancienne porte blindée.
La magnifique porte de la sacristie.
La sacristie au sud-est de collégiale avec l'accès à la chapelle inférieure.
Vue de la partie sud-ouest de la collégiale
La tour Sud
Vue de la partie sud-ouest de la collégiale avec l'escalier d'accès au portail.
Le portail occidental
La pente du terrain a nécessité la construction d'un perron au-dessus de la rue et de deux escaliers permettant l'accès au portail. Ce prolongement a donné aux tours leur positionnement en retrait par rapport à la façade occidentale.
Fin de la visite de la Collégiale mais fin de la visite de Saint-Bonnet-le-Château dans le prochain article…