Le soleil a fait son apparition, on peut aller visiter Béziers.
(clic sur les photos pour les agrandir)
Du jardin de la Place des Alliés, une jolie vue sur le Pont-Vieux (XIIe siècle) et la cathédrale
Reflets sur l'Orb.
A proximité du Pont-Vieux, un théâtre de verdure.
« La cathédrale Saint Nazaire, énorme monument gothique bâti sur une éminence qui domine le cours de l'Orb, et qui de loin n'est pas sans faire penser plus à un château fort qu'à un lieu de culte.»
Le Pont Neuf, parallèle au Pont Vieux.
Au loin, l'ancien moulin de Bagnols.
Après une montée assez raide, on arrive sur la Place de la Révolution
Le chevet de la cathédrale avec à gauche l'abside, à droite la sacristie et derrière la tour-clocher.
La tour-clocher, haute de 46 ou 48 mètres.
La façade occidentale de la cathédrale Saint-Nazaire de Béziers.
Cette façade comporte un portail à double porte qui est inutilisé de nos jours, et une belle rosace
Nous laissons cette cathédrale aux allures de forteresse pour continuer la visite.
Un coup d’œil sur le pont vieux avec le théâtre de verdure et ==>
==> et l'Orb avec la chaussée et le Moulin de Bagnols.
Il y a du monde aux balcons !
La mairie.
A deux pas de la mairie, ce bel immeuble ''A la ville de Florence'' !
Et celui-ci, ''A la tentation'', se trouve rue de la République.
« L’un des sanctuaires les plus vénérés de Béziers.
« Cité pour la première fois en 1092, c’était la paroisse des Consuls. Cette très belle église romane avec son clocher en partie gothique, fut très remaniée au cours des siècles.»
« En ces lieux s’est produit le plus grand drame de l’histoire de Béziers. C’est ici, le 22 juillet 1209, fête de la Sainte Madeleine, que les croisés de Simon de Montfort massacrèrent et égorgèrent 7 000 Biterrois – hommes femmes et enfants – qui avaient pensé trouver là un refuge. Puis ils incendièrent l’église. Le sanctuaire porte encore les cicatrices de cet incendie. »
Place de la victoire, fontaine et théâtre ==>
==> fontaine et un bel immeuble ==>
==> immeuble abritant la ''Société Marseillaise de Crédit''.
L'ancien bâtiment de la Caisse d'Épargne.
La sous-préfecture.
Le collège Paul Riquet
Il est presque midi, il nous faut regagner le camping-car où nous attend Jaïka. Pour aller plus vite, on prend le bus- navette ''le 9'' (Tarif : 0,50 € par personne) qui nous dépose à 50mètres de notre véhicule. Super ! Et surtout reposant !
Après le repas, on ira jusqu'à Narbonne (11100)...
Les ''Neuf écluses de Fonseranes'' et la ''Pente d'eau'' sur le canal du Midi à Béziers
De Portiragnes à Béziers
Périple du 19 février 2018 au 13 mars 2018
4ème jour : jeudi 22 février 2018
Réveillés par le passage du camion ramassant les bennes à ordures !
Comme l'étape d'aujourd'hui est courte (une vingtaine de kilomètres), on prend notre temps pour nous préparer puis faire le plein d'eau et les vidanges, après avoir laissé passer avant nous, deux camping-cars !
(clic sur les photos pour les agrandir)
On ''décolle'' vers 11h et nous arrivons à Béziers en peu avant midi.
Nous nous installons sur un parking au bord de l'ancien canal ''le canelet'' :ancienne branche du canal du Midi qui se jetait dans l'Orb.
« Imaginé par Pierre-Paul Riquet en 1682, le canelet permettait de passer par l'Orb, après les Neuf écluses, pour reprendre ensuite le canal du Midi un peu plus loin. La construction du pont Canal en 1860 l'a rendu obsolète... » (Source ''Midi-Libre'' du 14/12/2013)
En début d'après-midi, on va voir les ''9 écluses'', en longeant le canelet .
Gros plan sur la cathédrale.
Nous arrivons au pied des ''Neuf écluses de Fonseranes''.
« Cet escalier d'eau spectaculaire, ouvrage majeur du Canal du Midi, est le cadeau de Pierre-Paul Riquet à sa ville natale. L'Octuple (8 écluses, 9 bassins en enfilade) construit de 1676 à 1680, franchit un dénivelé de 21,50 m sur une longueur de 300 m ».
Nous allons emprunter la ''rampe du coche d'eau'' (à droite sur la photo) pour gravir les écluses, mais avant ==>
==> mais avant, on admire la cathédrale Saint-Nazaire !
Nous voici au sommet de cet escalier d'eau !
En redescendant des écluses, on a la chance de voir - en cette saison - un bateau emprunter les écluses.
On ne suivra pas ce bateau jusqu'au sommet, on va aller voir la fameuse et célèbre ''pente d'eau'' de Fonseranes.
La pente d'eau mise en service en 1984, et qui n'a quasiment pas été utilisée, elle faisait la jonction avec le Canal du Midi.
La partie montante de la pente d'eau, vue depuis l'aval.
« Le fonctionnement de la pente d'eau est très simple. La péniche entre dans un bac rempli d'eau qui est transporté sur un engin motorisé monté sur pneus. L'ensemble roule vers le haut ou vers le bas pour libérer la péniche à l'arrivée. »
L'engin motorisé.
« Remplacer des écluses par une pente d'eau est une chose devenue fréquente sur les canaux du nord. À Fonséranes, cette réalisation est venue trop tard, alors que le trafic commercial était déjà en nette diminution. L'exploitation de la pente d'eau n'a guère duré, elle a été abandonnée alors que les travaux étaient à peine achevés. »
« La pente d'eau avait été construite afin d'accélérer le transport de marchandises en économisant le passage par les huit bassins. Mais cette réalisation était bien trop tardive et très coûteuse. »
« Aujourd'hui, ceux qui naviguent sur le canal le font à des fins touristiques et préfèrent bien entendu franchir l'escalier d'écluses. La pente d'eau n'est plus entretenue et ne subsiste que comme un vestige près des écluses. »
Le site de Fonséranes réaménagé, modernisé, a ré-ouvert au public le 1er juillet 2017.
« Les Biterrois ont retrouvé leur lieu de promenade préféré... depuis 350 ans! »
« Des bâtiments traditionnels comme le Coche d’eau - devenu Maison du Site, avec Office de Tourisme, salle de projection d'un film exceptionnel, boutique et restaurant panoramique -, la maison de l’éclusier y subsistent encore… »
Le pont permettant de passer du canal du Midi à la ''pente d'eau'' et, au loin, la ville de Béziers
On poursuit notre balade le long du canal du Midi pour rejoindre le Pont Canal.
Le Pont Canai, ouvrage majestueux, permet à un cours d'eau (le canal du Midi) de franchir un autre cours d'eau (la rivière Orb).
Depuis le Pont Canal, vue sur la cathédrale et au premier plan le pont d'Occitanie (pont routier).
Zoom sur la cathédrale.
Le Pont-Canal est doté, depuis l’origine, d’une galerie qui court sous le chenal, pour faciliter les inspections de l’ouvrage.
Haut de 12 m, large de 28 m et long de 240 m.
Pour aujourd'hui, on a assez marché. On va se reposer dans notre maison-sur-roues et demain on ira visiter la ville de Béziers...
Aujourd'hui, nous partons à la découverte de Saint-Pourçain-sur-Sioule, puis de Verneuil-en-Bourbonnais, communes de l'Allier.
De SaintPourçain-sur-Sioule à Thiel-sur-Acolin, en passant par Verneuil-en-Bourbonnais
Périple du 16 janvier 2018 au 31 janvier 2018
4ème jour : vendredi 19 janvier 2018
Pluie dans la nuit, mais un ciel presque bleu sur le matin.
(clic sur les photos pour les agrandir)
On longe la Sioule pour nous rendre au centre de Saint-Pourçain-sur-Sioule (03500).
Après avoir pris des renseignements à l'Office de Toruisme, on se dirige vers la Place Clémenceau que domine l'église Sainte-Croix.
Elle présente un porche datant du début de l'époque romane au-dessus duquel s'élève le clocher. La nef gothique est couverte d'une charpente en carène de vaisseau.
Entrée façade nord de l'église.
La façade ouest et le clocher.
Nous sommes sur la Place Maréchal Foch où se trouve l'Hôtel de Ville « d'origine gothique mais qui fut flanqué d'une façade néo-classique. »
De cette place, on peut apercevoir le clocher de l'église et,au premier plan, la Tour de l'horloge ou Beffroi (1480).
«Érigée sur l'une des anciennes tour de l'enceinte monastique, elle sert tout d'abord de tour de guet. Elle est ensuite équipée d'une horloge avec sa cloche par les habitants.»
Passage permettant d'accéder à la ''Cour des Bénédictins''.
Sur cette cour, perché en haut d'une grappe de raisin, se trouve, non pas MacManouche mais le ''Penseur de Saint-Pourçain'' (« sculpture en acier et résine polychrome, de 4m70 réaliséepar l'artiste Alain Demanca »)
Ancienne façade, à l'angle de la Place Maréchal Foch et de la rue de la République.
Juste derrière la Place Maréchal Foch se trouve cette très vieille maison, ancienne taverne où l'on ''servait le vin à la ficelle''(*)
(*)''Servir le vin à la ficelle''
« L'expression date du 15ème siècle. Selon la légende, c’est un aubergiste auvergnat prénommé Gaultier qui en 1487, a eu l’idée d’utiliser un bout de ficelle pour jauger la quantité de vin consommée par ses clients.
À l’époque, le vin était servi dans des pichet de terre ou en étain. L’aubergiste mesurait donc la quantité de vin consommée grâce à des nœuds réguliers dont l’écart entre chacun d’entre eux représentait 25 cl de liquide. »
Dans la rue Georges V, à proximité de la Place Maréchal Foch, l'ancien atelier monétaire.
Du XIIIè au XVIè siècle, cet atelier frappait la monnaie royale.
On laisse le centre historique pour aller au bord de la Sioule qu'enjambe le Le pont ''Charles De Gaulle''
« Ce pont date de la fin du XVIIème siècle (plan dressé par Matthieu, ingénieur et architecte des bâtiments du Roi). Rénové plusieurs fois suite à des crues et aux dégâts de la 2de guerre mondiale, il présente encore son aspect original légèrement bombé, avec quatre piles à éperons.»
La Sioule, depuis le Le Pont Charles De Gaulle.
Nous voici revenus vers notre ''maison-sur-roues''.
Le déjeuner fini et le café bu, on continue notre itinéraire juqu'au petit village de Verneuil-en-Bourbonnais (03500) où l'on se gare sur le parking proche de l'école, chemin de Chillot.
La visite de village commence par la Place de la Fontaine.
Puis, on passe la Ruelle de l'Écu qui devient vite un chemin herbeux !
Par cette ruelle, on arrive au petit pré de la Motte Coquet sur lequel se trouve le ''Géant Endormi''.
Ensuite, on franchit la ''Porte de la ville close'' du XIVè siècle.
On passe devant une maison à colombages, typique du XVè siècle.
Le chemin de la chapelle nous mène à l'ancienne église ''Notre Dame sur l'Eau.
La collégiale Saint-Pierre.
Entrée (la seule) latérale de l'église
Le clocher est terminé par un étage octogonal du XIVème siècle percé sur chaque face d’une baie moulurée.
Au pied du clocher, le cadran solaire ''gnomon''(*)
(*)« Un ''gnomon'' est un dispositif simple constitué d'une tige, appelé style, fixée verticalement sur un socle ou directement plantée dans le sol. On n'observe pas directement le soleil, mais l'ombre portée du style sur son socle ou sur le sol. »
L'ancien palais médiéval de justice
Visite terminée, on ressort par la ''Porte de la ville close'' pour regagner le camping-car.
Il n'est pas très tard, alors on file jusqu'à Thiel-sur-Acolin (03230) où se trouve une aire avec services (eau et EDF) gratuits et en fonction. Aire où nous avions fait la pause de midi avec le GéDal le 28 septembre 2017 lors de notre 65ème périple.
Découverte de la ville d'Aubusson - Ensuite, balade le long de l'Allier à Cournon d'Auvergne .
De Cressat à Cournon d'Auvergne, en passant par Aubusson, Mérinchal et Auzances .
Périple du 27 septembre 2017 au 30 octobre 2017 .
31ème jour : samedi 28 octobre 2017 .
Aujourd'hui, pour notre antépénultième jour, on va visiter la ville d'Aubusson (23200). .
(clic sur les photos pour les agrandir).
Ville rendue célèbre par ses tapisseries !
Arrivés à Aubusson, on stationne rue des Fusillés, sur un grand parking goudronné, sur lequel se trouve une borne de services pour les camping-cars.
De la rue des Fusillés, on descend à pied vers le centre ville.
Au bas de la rue, le bâtiment de la caisse d'épargne ==>
==> ainsi qu'une fontaine.
Puis, on emprunte la rue Grande.
Maison avec tourelle.
Ensuite, on grimpe jusqu'à la tour de l'Horloge, ancienne tour de guet.
Vue sur l'hôtel de ville, l'église Sainte-Croix, depuis la tour de l'Horloge.
Un joli panorama d' Aubusson.
On descend jusqu'à la Creuse où se trouve l'Atelier Musée des Cartons de Tapisserie.
Le pont de la Terrade qui enjambe la Creuse.
Le vieux pont en pierre et ses jolies maisons nichées au bord de l'eau.
Pont du 16è siècle, pourvu d'avant-becs aigus.
On laisse le quartier de la Terrade pour grimper sur les hauteurs de la ville, en face de la Tour de l'Horloge.
Après avoir emprunté un sentier pentu, on arrive à ''l'Esplanade du Chapitre'' … == > …
… == > … où se trouvent les vestiges du château d'Aubusson.
Depuis les ruines du château, vue sur le lycée (à gauche) et le musée (à droite).
Panorama d'Aubusson.
Après cette visite d'Aubusson, on reprend la route pour Mérinchal (23420), mais l'aire est inaccessible (fort porte-à-faux) pour notre véhicule.
Alors, après être passés par Auzances (23700) sans succès pour stationner, nous cherchons d'autres lieux mais à cause d'une déviation, on passe par de toutes petites routes.
Finalement, comme on ne trouve pas d'endroit pour la halte du soir, on décide d'aller dormir à Cournon d'Auvergne, sur ''notre'' aire habituelle !
A cause du bruit de la circulation, on a été réveillé vers 7h !!!
Une fois le déjeuner terminé, on fait les vidanges et le plein d'eau.
Ensuite, on démarre direction Honfleur (14600) et pour cela il nous faut franchir la Seine par le pont de Tancarville.
Pont à péage : 3€60 pour notre camping-car.
A la sortie du péage, on fait une courte halte pour photographier le pont rive gauche !
On approche de Honfleur et l'on aperçoit le pont de Normandie.
A l'entrée de Honfleur, deuxième petit arrêt pour photographier le pont de Normandie.
Le pont de Normandie permet de relier Honfleur au Havre.
L'accès au centre de Honfleur étant interdit aux camping-cars, on fait un petit détour pour grimper jusqu'au Mont Joli.
Du sommet, nous pouvons (malgré le temps brumeux) admirer le panorama sur Honfleur … == >...
… == > … et le pont de Normandie … == > …
… == > … Le pont enjambe l'estuaire de la Seine. (A gauche le pays du Havre et à droite celui de Honfleur.)
Au sommet du Mont Joli, se trouve une chapelle … == > …
… == > … C'est la Chapelle Notre-Dame-de-Grâce située sur la commune d'Équemauville (14600) … == > …
… == > … Par beau temps, - mais ce n'est pas le cas aujourd'hui - elle offre un superbe panorama sur le Pont de Normandie, l'estuaire de la Seine et le Havre … == > …
… == > … Cette chapelle date du 17è siècle.
À l'extérieur, sur le coté gauche de la chapelle, on peut voir les cloches des pèlerinages.
C'est le carillon de Notre-Dame-de-Grâce qui … == > …
… == > … qui est composé d'une vingtaine de cloches.
En fait , il a 24 cloches, mais on ne les voit pas toutes sur les photos !
Après le repas, on quitte le Mont Joli, pour nous rendre à Banville 14480).
Nous empruntons un itinéraire qui longe la côte, en passant par Deauville, Houlgate, Cabourg, Ouistreham puis Banville.
L'aire de ce soir est située sur le parking du site archéologique de Banville que que nous irons voir demain.
En promenant Jaïka, MacManouche en profite pour photographier le lever de lune.
Un jeune mari rentre chez lui. Sa femme lui saute au cou en disant :
« Chéri, j'ai une grande nouvelle : je suis en retard d'un mois. Je crois que nous allons avoir un bébé ! J'ai fait un test de grossesse chez le médecin et nous aurons le résultat d'ici un jour ou deux. Tant que nous n’aurons pas le résultat, on n’en parle à personne. »
Le lendemain, un conseiller clientèle d’E.D.F téléphone chez eux au sujet d’une facture impayée
« Vous êtes bien Mme Dupont ? »
« Oui »
« Madame, vous avez un mois de retard. »
« Mais… comment le savez-vous ? »
« Nous avons des ordinateurs, c'est inscrit dans notre base de données. »
« Que dites-vous, c'est inscrit dans vos ordinateurs ? »
« Absolument ! »
Le soir elle raconte cette conversation à son mari qui, fou de rage, se précipite dès le lendemain au siège de la compagnie d'électricité.
« Qu'est-ce que c'est que cette histoire, vous inscrivez dans votre base de données que ma femme a un mois de retard ? De quoi vous mêlez-vous ? »
« Écoutez, dit le conseiller clientèle, calmez vous, ce n'est pas bien grave. Vous n'avez qu'à l'acquitter. »
« La quitter ? Il n'en est pas question ! Je ne la quitterai jamais, ni maintenant, ni plus tard ! »
« Dans ce cas, je vous préviens que si vous refusez de l'acquitter, on va vous la couper. »
« Quoi ? Me la couper ? Mais vous êtes fou ! Et que deviendra ma femme ? »
«Je ne sais pas… elle n'aura qu'à se servir d'une bougie ! »
Ce matin, on quitte Bazoches, direction Vézelay (89450), mais on fait d'abord une halte à Pierre-Perthuis (89450).
Au cœur du Morvan, à la frontière de la Nièvre, le village de Pierre-Perthuis est connu surtout pour ses deux ponts au-dessus de la Cure.
Alors, petite balade jusqu'aux ponts et tout d'abord le vieux pont ou ''pont de Ternos''.
Et voilà les fameux 2 ponts !
La Cure qui passe sous les 2 ponts.
Le plus ancien, également plus petit, le pont de Ternos est connu pour avoir servi de décor au film ''La Grande Vadrouille'' en 1966.
Il date de 1770.
Le pont de Ternos avec son arche unique !
La traversée du pont
Le pont supérieur domine le pont de Ternos.
Il a été construit dans les années 1870, haut de 35 mètres.
En remontant vers le village, on peut voir le 3ème petit pont qui enjambe le ru de Bazoches.
Nous voici sur le pont supérieur d'où l'on a une vue générale sur toute la vallée et au loin Vézelay ! … == > …
… == > … mais aussi sur l'église !… == > …
… == > … et au loin la ''Pierre Percée'' où nous irons tout à l'heure.
Sous le pont, 30 mètres plus bas, le pont de Ternos.
Le pont de Ternos, vu depuis le pont neuf !
Vestiges de l'ancienne porte fortifiée !
Après avoir repris le camping-car, on se rend au site de la ''Pierre Percée''.
« La Roche percée, une arche naturelle de 15 mètres de haut. C’est de cette roche que vient, a priori, le nom du village, anciennement appelé Petra Pertuisa. Les géologues expliquent qu’une telle cavité a pu se former car la roche supérieure était plus dure et plus résistante que le granit qui formait l’intérieur de la falaise. Ils datent le phénomène d’érosion à 185 millions d’années. C’est l’endroit parfait pour pique-niquer. »
Maintenant direction Saint-Père (89450) pour le déjeuner.
En fin de matinée, on file à Pierrelatte rejoindre les parents de Mathilde et Juliette, Stéphane et Séverine, et leur petit frère Damien qui vont passer le week-end du 14 juillet avec nous.
Repas, tous les sept, dans le camping-car, sur le parking de la ''ferme aux crocodiles'.
Ensuite, visite de la ''ferme aux crocodiles', sans MacManouche qui garde Jaïka.
Après la visite, la petite famille se rend à la résidence hôtelière de Gaujac (30330) où Stéphane a réservé un logement pour 2 nuits pour toute sa famille
Et nous, seuls, sans les enfants, nous nous installons à Pouzilhac (30210) pour la nuit, village que nous avions visité en mars. ( clic pour voir ou revoir l'article ).
De Pouzilhac au Pont-du-Gard et retour à Pouzilhac
Périple du 2 juillet 2017 au 18 juillet 2017
14ème jour : samedi 15 juillet 2017
(clic sur les photos pour les agrandir).
Vers 13h, la petite famille nous rejoint à Pouzilhac pour le déjeuner.
Après le repas, puis le café et les parties de cartes (la ''crapette''), on se rend au Pont-du-Gard en fin d'après-midi.
Nous, nous l'avons visité en mars ( clic pour voir ou revoir l'article ), mais comme les petits-enfants ne connaissent pas, on refait la visite avec eux et leurs parents, bien sûr !
D'abord la visite du musée, puis la ludothèque et ensuite le pont lui-même.
Retour au parking, après la baignade de Juliette et Damien dans le Gardon.
Après le souper, vers 21h30, on va voir les illuminations du Pont-du-Gard.
L'appareil photo est bien stabilisé, on peut mitrailler !
C'est un joli spectacle, ça valait le coup d'attendre la nuit !
Le cycle des illuminations dure environ 30 minutes puis … == > …
… == > … puis il recommence, et ainsi de suite jusqu'à 3h du matin, mais … == > …
… == > … mais nous nous serons partis car il faut quitter le parking avant 23h !
Belle soirée toute en couleur, et maintenant nous retournons nous installer à Pouzilhac tandis que la petite famille file à Gaujac.