Les vestiges d’habitation aménagée contre la falaise.
Les rochers Fendus, dans la anse de l’Argent Faux.
La crique-plage.
Maintenant , on attaque la remontée par un escalier comportant un nombre important de marches !
L’escalier vu du sommet.
Arrivés au sommet de l’escalier, nous passons devant la Villa Eilenroc.
Cette villa, construite entre 1860 et 1867, a été léguée à la ville d'Antibes par sa dernière propriétaire, Hélène Beaumont, en 1982.
La pointe de l’Îlette qui ferme la anse de l’Argent Faux.
Le fond de la anse de l’Argent Faux.
Chemin ou escalier aux marches très larges qui aboutit à l’avenue Beaumont.
Après l’avenue Beaumont, on prend sur notre droite l’avenue Tour Gandolphe qui aboutit sur l’avenue André Sella d’où nous avons une vue sur les montagnes enneigées.
Il nous faut descendre toute l’avenue André Sella pour arriver à la plage de la Garoupe.
On approche du but final.
La voiture rouge ce n’est pas la nôtre, qui est noire !!
On a repris la route, direction Antibes-La Fontonne.
Depuis la Pointe de la Grenille, vue sur Antibes et ses remparts.
Dernier coup d’oeil sur Antibes pour terminer ce hors-périple.
Les Macmanouche : toujours le tour du Cap d'Antibes
10 décembre 2020
On poursuit notre balade, en laissant derrière nous les terrasses privées.
Le soleil est caché par les nuages.
Une autre vue d’une des terrasses avec son allée qui mène à la résidence.
Le mur a été remplacé par une simple palissade par-dessus laquelle trône un gros projecteur !
Petite pointe rocheuse ballottée par les flots.
Le sentier bien pavé va nous mener à un petit belvédère.
Depuis le belvédère, vue sur le sentier que nous venons d’emprunter.
Nous longeons le mur d’enceinte qui protège le Château de la Croë.
Il nous faut longer le mur et bien faire attention où nous posons les pieds car il n’y a plus de sentier tracé parmi la rocaille.
Au bout, une digue avec une avancée au plus près de la mer.
Depuis le bout de la digue aménagé en belvédère, on voit ce haut et long mur de pierres et les nombreux pins, qui cachent le Château de la Croë, datant de 1927 et qui fut, pendant un temps, la demeure du Duc de Winsor et de sa très contestée épouse, Wallis Simpson.
On quitte la digue pour continuer notre balade.
Les rochers fendus
Le panneau n’est pas là pour le décor : le chemin à certains passages est glissant et pentu.
On arrive à une crique aménagée en plage.
Un autre vue sur les rochers fendus !
Non, ce n’est pas nous ! C’est un couple de promeneurs : ils font une pause.
Derrière eux, des vestiges d’habitation aménagée contre la falaise.
Maintenant, on va attaquer le dernière partie de la balade…
Le confinement étant un peu allégé puisque on peut se déplacer dans un rayon de 20 km autour du domicile et dans la limite de 3 heures, on décide de faire le tour du Cap d’Antibes.
On va tout d’abord en voiture jusqu’à la plage de la Garoupe où se trouve le départ du « sentier du littoral » ou « sentier des douaniers ».
Et voilà, c’est parti pour le tour du Cap d’Antibes
Sur notre gauche les montagnes légèrement enneigées.
Petite crique.
Ce pin d’Alep anémomorphosé par le vent et les embruns, doit faire office de parasol, l’été!
Le sentier longe le mur qui protège les villas du Cap.
Le ciel se couvre !
Lors de gros coups de vent, une grille et son portail empêche l’accès au sentier par mesure de sécurité.
Au loin, derrière nous, on aperçoit le phare de la Garoupe
Petit voilier qui rentre au port.
Le sentier des douaniers serpente au plus près des flots.
Nous voici au niveau du Cap Gros
Le chemin fait bientôt place à un sentier pavé qui longe le mur d’enceinte qui protège les vastes parcs privés.
Ici, un escalier a été aménagé pour faciliter le passage.
Le sentier serpente au-dessus des petites criques.
Toujours le mur d’enceinte et le sentier qui surplombe les falaises.
A cet endroit, le sentier ouvre un passage, à gauche, pour accéder au bord de l’eau.
Nous arrivons à la Pointe Malalongue et, au-dessus, le phare.
« Classé au titre des Monuments Historiques depuis 2012, le phare a été construit en 1732. Il était destiné à remplacer l’ancienne tour à feu du XVIème siècle. Détruit en 1944, il fut reconstruit sous sa forme actuelle après la guerre. »
Le phare et les vestiges d'un ancien blockhaus.
Nous voici sur le versant Est de la presqu’île.
Un dernier coup d’œil au phare et nous continuons la balade.
Sur ce versant, le sentier passe presque au ras de la mer.
Maisons surplombant le chemin.
« Le sentier se termine sur le chemin de la Carrière ainsi nommé à cause d’une ancienne carrière d’où furent extraites les pierres qui servirent pour la construction du port de Monaco. »
Face à nous, la Pointe du Colombier.
Au loin le viaduc de la Moyenne Corniche.
Le viaduc et le village d' Èze sur son piton rocheux.
Bâtiment à l'abandon qui sert de support pour les tags !
Rocher-poisson ou poisson-rocher !
La tour du Cap Ferrat (5km) est terminé et maintenant nous avons encore 1,5 km pour retourner à la voiture par les rues de Saint-Jean-Cap-Ferrat.
Après avoir vu le château privé d'Adiac et, une fois reposés, on reprend notre balade...
Le château est en face de cette maison et nous empruntons la route qui passe sur la droite de la maison pour rejoindre le chemin initial puisque nous avions fait un léger crochet pour voir le château.
Le ciel est toujours nuageux !
Au loin, quelques habitations et des fermes !
Quelques vaches ou génisses ?
Et là, un cochon, un jeune cochon !
Des coulemelles !
Panorama de la région très vallonnée.
Troupeau de moutons qui nous regardent passer !
Et ici une Montbéliarde qui nous observe !
Au fond d'un pré, deux ânes.
On passe à proximité du Mont Recours : « Cheminée volcanique. Ce vestige de cheminée volcanique est un observatoire privilégié pour découvrir les reliefs de l'Emblavez et comprendre leur mode de construction... »
Le ciel semble devenir menaçant, heureusement nous approchons du village !
L'ancienne école publique fermée définitivement. L'école publique se trouve maintenant avec la mairie, route des Sucs (mais ce n'est pas notre itinéraire pour cette fois-ci.)
Bâtiment jouxtant l'école et ==>
==> et qui date de 1787 !!!
Et nous voici revenus à notre point de départ.
Ce soir nous dormirons sur cette aire de Beaulieu.
(NDLR : ce blog raconte une visite faite début novembre 2019, mais mis en page le 17 avril 2020 pendant le confinement du Covid-19)
Lors d'un arrêt prolongé à Craponne, nous sommes allés faire quelques courses au Puy-en-Velay.
Puis, une fois celles-ci terminées, on décide de ne pas rentrer tout de suite sur Craponne.
On va jusqu'à Beaulieu (43800), à une quinzaine de kilomètres du Puy-en-Velay.
L'aire est sympa, assez d'espace et les services (eau+EDF) sont gratuits. Petit bémol : l'aire est à proximité de la route.
Une fois installés sur l'aire de Beaulieu, on va faire la balade du ''sentier de la Galoche''.
Jaïka est partie en tête sur ce chemin qui est, en fait, une ancienne voie ferrée transformée en piste cyclable.
Nous poursuivons notre balade sur l’ancienne voie ferrée ''La Galoche'' qui passe à côté d'un pré (sur la gauche) qui sert (ou servait) pour l'atterrissage des ailes volantes.
Quelques nuages noirs, mais la pluie n'est pas prévue pour aujourd'hui.
On passe devant une ancienne ferme joliment transformée en maison d'habitation.
Une belle prairie boisée.
On a fait un tout petit crochet pour aller voir le château d'Adiac.
« Maison forte de la fin du Moyen-Age qui devait se composer à l'origine d'un donjon présentant une pièce à chacun de ses quatre étages. ==>
==> Dénué d'ouvrages défensifs suffisants, le château ne put résister aux Calvinistes qui le prirent en 1574. Propriété privée, ne se visite pas. »
On souffle un peu et après on continuera la balade...
Balade à pied du Col d'Aubisque au col de Noulatte
Mercredi 22 mai 2019
La petite randonnée au col d'Arbaze terminée, on enchaîne avec la balade jusqu'au col de la Noulatte (1804m) : un dénivelé de 100m.
Le Pic de Ger vu depuis le sentier du col de la Noulatte.
Sommets à l'Est du Col d'Aubisque.
Le sentier est bien tracé, mais la pente commence à s'accentuer.
On traverse des petits névés et ça monte pas mal !
Nous voici arrivés au col de la Noulatte à 1804m après 1,3km de montée et une pente moyenne à 13% et jusqu'à 20% à certains passages.
Le sentier GRP (Grand Raid des Pyrénées) Tour de la Vallée d'Ossau.
Que c'est bon la neige !
La route qui monte au col d'Aubisque et l'hôtel-restaurant ''Les Crêtes Blanches''.
Nous avons de la visite !
Fin de la balade au col de la Noulatte et retour au camping-car.
Après le déjeuner et un peu de repos, on reprend la route avec un nouvel itinéraire.
Comme le col d'Aubisque est fermé, il nous faut ''redescendre'' vers Eaux-Bonnes, puis Louvie-Juzon, ensuite Saint-Pé-de-Bigorre, Argelès-Gazost, Pierrefitte-Nestalas (halte de la nuit) et demain reprendre l'itinéraire initial : Luz-saint-Sauveur, Col du Tourmalet, Col d'Aspin...
Ce soir, nous serons nombreux sur l'aire de Pierrefitte-Nestalas (65260) !
De Pierrefitte-Nestalas au col du Tourmalet en passant par Saint-Jean-de-Luz
Jeudi 23 mai 2019
Ce matin, 9h, l'EHPAD d'Antibes vient d'appeler Marie-Claude pour l'informer que Fernande venait d'être hospitalisée.
Donc, nous n'irons pas au Col du Tourmalet et nous abandonnons l'itinéraire prévu pour ce 84ème périple pour filer directement sur Antibes (10h de route) où nous arriverons vendredi, après avoir dormi à Salses-le-Château (66600).
Alors, comme nous sommes obligés de modifier notre parcours puisque la route est fermée, nous décidons de faire une balade pédestre.
C'est parti pour le Col d'Arbaze (1799m)
Au centre (de la photo) le Pic de Ger (2613m)
Le parking du Col d'Aubisque, le restaurant et les 3 vélos : jaune (pour le leader), vert (meilleur sprinteur) et à pois rouges sur fond blanc ( meilleur grimpeur).
On a commencé à grimper et on aperçoit (à gauche) l'hôtel-restaurant ''Les Crêtes Blanches'' et à droite un petit bâtiment au départ d'un téléski.
Le village de Gourette (64440) et à droite la cascade.
Zoom sur la cascade.
Panorama versant EST, côté Col du Soulor
Jaïka se régale sur les plaques de neige !
Des nuages s'accrochent aux sommets. Le col d'Arbaze est sur la gauche.
Depuis le col de Casteix, de gauche à droite, le sommet de Pène Medaa (2520m) et le Pic du Ger (2613m).
Quelques fleurs vues en chemin
Orchidées du Béarn
Gentianes étoilées.
Gentiane des Pyrénées
Renoncule
Narcisses mutiques
La route vers le col du Soulor.
Des nuages commencent à s'accrocher au Pic de Ger.
Panorama au Nord du col D'aubisque, avec le Soum de Grum qui culmine à 1870 mètres.
Le Col d'Arbize qui semble pas très loin, mais le sentier est enneigé : par prudence, nous rebroussons chemin.
Quel plaisir de se coucher dans la neige ou ==>
==> ou de se reposer dans l'herbe !
Fin de cette balade vers le Col d'Arbaze. Le parking commence à se remplir !
Comme cette balade a été écourtée, on va en faire une autre...
Du belvédère du Moine de la Vallée au parking du Saut du Doubs, en repassant par Pontarlier
Périple du 2 mai 2018 au 22 mai 2018
14ème jour : Mardi 15 mai 2018
Pratiquement comme tous les jours, il a plu toute la nuit et ça persiste ce matin.
Comme on ne peut rien visiter avec cette pluie, on décide d'aller au supermarché de Pontarlier faire des provisions.
En début de l'après-midi, la pluie commence à se calmer, on quitte Pontarlier, direction le hameau de Taillards-les-Vions (commune de Villers-le-lac – 25130) où nous arrivons vers 16h30.
A 1km du hameau se trouve un parking proche du saut du Doubs.
Le parking est vraiment pentu, nous obligeant à mettre - du côté gauche - des cales en plus des vérins !!!
Un timide soleil fait son apparition mais c'est un peu tard pour faire l'aller-retour au Saut du Doubs !
Ce soir on dort sur ce parking et on verra demain la météo...
Il ne manquera pas d'eau dans le Jura cette année : il pleut ! Il pleut (pauvre bergère!!)
Il pleut à ne pas mettre un chat dehors et encore moins des camping-caristes !!!
Donc on passe la matinée dans notre maison-sur-roues.
Vers 15h, la pluie se calme, alors on s'équipe (kway+parapluie) et on va aller jusqu'au Saut su Doubs.
Le sentier est boueux et pentu, mais assez rapidement on rejoint une petite route goudronnée qui mène au ''bassin du Doubs''.
(clic sur les photos pour les agrandir)
Dans le dernier virage, à travers les arbres, on aperçoit le ''bassin du Doubs'''.
C'est le débarcadère (ou embarcadère) des bateaux d'excursions sur le Doubs en provenance de Pontarlier (rive gauche) mais aussi des Brenets (rive droite, côté Suisse).
Nous sommes en France et le bâtiment en face est en Suisse.
La ligne de flotteurs bleus indique la fin de la partie navigable du Doubs car ==>
==> car au-delà le Doubs devient un torrent !
Maintenant, il faut grimper jusqu'au ''belvédère du haut''.
Montée un peu raide, mais ça valait la peine !
On aperçoit des gens sur le ''belvédère du Bas'' (rive gauche, donc à droite sur la photo).
Par contre sur le belvédère côté Suisse (à gauche sur la photo), pas de spectateurs !
« Le Saut du Doubs, une impétueuse chute d'eau de 27 m, classé Grand Site National, est le résultat d'un éboulement qui a verrouillé le passage de l’eau. »
Maintenant, on descend au ''belvédère du Bas''.
On est au ''belvédère du Bas'' et en face c'est le belvédère Suisse.
Du belvédère, on aperçoit au bas de la chute d'eau un héron.
Il doit guetter un poisson !
En nous penchant, on est vraiment au-dessus de cette cascade !
Retour au ''Bassin du Doubs'' : à gauche la Suisse et à droite la France.
Il nous faut maintenant revenir jusqu'au camping-car avant que la pluie recommence.
Demain, on a programmé l'excursion en bateau sur le Doubs, alors on va à Villers-le-lac s'installer sur le parking des ''Bateaux du Saut du Doubs''.
L'hôtesse d'accueil n'est pas très sympathique : en prenant les billets (14€90 par personne), on a droit au stationnement pour la nuit gratuit, mais par contre si on veut faire le plein d'eau c'est 3€ !!!
A demain pour l'excursion...en espérant que la pluie ne soit pas invitée !