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Visite des Saintes-Marie-de-la-Mer (suite)

Lundi 15 avril 2019

Suite de la visite « des Saintes Maries de la Mer, terre d'accueil, de tradition et de pèlerinage, est construite entre ciel et mer, là où le Rhône embrasse la Méditerranée. »

« Le village offre au visiteur l'image de son église altière et protectrice. »

Le clocher et la tour-terrasse de l'ancien hôtel de ville.

L'actuelle mairie.

« L'église :

Construite près de l'embouchure du Petit-Rhône, l'Eglise des Saintes-Maries-de-la Mer avait une position stratégique importante. Car au moment de son édification, aux 9è et 12è siècles, les pirates sévissaient sur la côte et il fallait se défendre contre les invasions. ==>

==> Le clocher-mur est doté de 5 cloches de volée. ==>

==> Le mur du clocher est surmontée de mâchicoulis et d'échancrures, de style roman ==>

==> Les murs de l'église sont percés de meurtrières. Elle servait de refuge pour la population et on y trouve même un puits d'eau douce. ==>

==> L'église domine le village et est visible à 10 km depuis l'intérieur des terres. ==>

==> Il s'agit d'une véritable forteresse, formée d'une nef unique et droite, sans ornement et haute de 15 mètres. ==>

==> On accède au toit-terrasse en empruntant des escaliers à vis construits dans l'épaisseur des murs. ==>

==> Le toit est entouré d'un chemin de ronde, avec créneaux et mâchicoulis et servit de tour de guet. ==>

==> Les fortifications de la partie haute sont surélevées, dotant l'édifice des moyens de défense d'un château fort : chemin de ronde, mâchicoulis... ==>

==> Tout est fait pour résister aux assaillants : le toit est couvert de dalles de pierre, les ouvertures sont rares et petites et un donjon au cœur duquel est aménagée une salle qui fut peut-être salle des gardes. ==>

Du toit de l'église, on domine la ville et … ==>

==> … et au premier plan « l'ancien Hôtel de Ville, aussi prétoire de justice et de paix, construit en 1876 par l'architecte arlésien Véran.

Dans cet ancien Hôtel de Ville était installé le Musée Baroncelli, aujourd'hui fermé.

Ce musée était un hommage au marquis Folco de Baroncelli-Javon (1869-1943), personnage emblématique de la Camargue. Lou Marquès, dirigeant du journal félibréen « l'Aïoli » en Avignon, fut un ardent défenseur des coutumes du patrimoine écologique , traditionnel et culturel de la Camargue. Il mena une vie de gardian et milita en faveur de la tolérance. C'est à lui que l'on doit la reconnaissance du pèlerinage gitan par les autorités ecclésiastiques.»

Sur la gauche, une partie de l'ancien Hôtel de Ville, en gros plan le donjon et au loin le port.

Toujours du toit de l'église, vue sur les arènes où nous irons, mercredi, voir une course camarguaise.

Pendant que MacManouche était sur toit-terrasse de l'église, repos pour le quatuor !

Retour à notre maison-sur-roues en passant devant une belle ancre … qui n'est pas celle du Titanic bien sûr !!!

SOURCES :

http://www.saintesmaries.com/fr/

http://www.saintesmaries.com/le-musee.html

https://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89glise_Notre-Dame-de-la-Mer_des_Saintes-Maries-de-la-Mer

Ce soir, deuxième nuit sur la même aire … et toujours beaucoup de camping-cars...

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Coordonnées de l'aire des Saintes-Marie-de-la-Mer : (43° 26’ 59.2” E 4° 24’ 19”) 

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A bientôt pour la suite de ce 82ème périple'

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«On dit que certaines personnes ont vu des anges; moi, j'ai vu MimiManouche, ça me suffit.»

MacManouche

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